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La pierre donne des signes de modération Par Tonino SERAFINI QUOTIDIEN : mercredi 4 avril 2007
Petite revue des prix immobiliers après une hausse cumulée de 137 % en dix ans en Ile-de-France : un deux pièces ? 217 371 euros en moyenne à Paris et 154 814 dans le Val-de-Marne. Un quatre pièces ? 544 210 dans la capitale et 211 812 euros dans les Yvelines, département de la grande couronne. L'appartement familial de «5 pièces et plus» s'affiche à des tarifs plus que dissuasifs : 873 000 euros à Paris et 576 704 euros dans le département voisin des Hauts-de-Seine, plus connu pour être le fief de Nicolas Sarkozy. Qui achète encore à ces prix-là ? De moins en moins de monde, selon des statistiques publiées hier par la chambre des notaires de Paris-Ile-de-France. Elles montrent qu'au quatrième trimestre 2006, le nombre de ventes s'est tassé avec un chiffre de 56 813 contre 61 928 pour la même période un an plus tôt. Preuve que les acheteurs peinent de plus en plus à suivre cette hyperinflation immobilière, malgré le recours à des emprunts toujours plus longs, allant jusqu'à 30 ou 35 ans. Mais ces artifices bancaires qui endettent les ménages à vie commencent à trouver leurs limites du fait des hausses répétées. Et l'année 2006 s'est encore distinguée par une augmentation de 9,9 % du prix des appartements à Paris, de 10,3 % en petite couronne, et de 11,1 % en grande couronne. La conjoncture est cependant moins souriante qu'il n'y paraît pour tous ceux qui ont prospéré avec la pierre depuis une décennie : notaires, agents immobiliers, organismes bancaires... et aussi vendeurs qui ont empoché des sacrées plus-values. Les hausses de 2006 sont intervenues entre janvier et septembre. Depuis, c'est plus morose. Ça augmente moins, les acheteurs se faisant plus rares. Au quatrième trimestre 2006, la hausse des appartements a été limitée à 1,5 % à Paris, à 0,7 % en petite couronne et à 1 % en grande couronne. Le prix des maisons a carrément viré à la baisse en banlieue parisienne, ce qui n'était jamais arrivé depuis des années : Hauts-de-Seine (- 2,7 %), Seine-Saint-Denis (- 0,7 %), Val-de-Marne (- 2,4 %), Yvelines (- 2,1 %), Essonne (- 0,8 %), Val-d'Oise (- 0,7 %). «On est entré en phase d'ajustement», ont commenté hier pudiquement les notaires. C'est pas le krach, mais on sent que ça craque.
Ramer dans le sens du courant a toujours fait rire les crocodiles (proverbe africain).