****JavaScript based drop down DHTML menu generated by NavStudio. (OpenCube Inc. - http://www.opencube.com)****
ATTENTION : Le Forum
dUniversimmo
a migré sur une nouvelle
plate-forme, sécurisée, et à la pointe de ce
qui se fait en matière de forums de discussion. Pour
découvrir le nouveau Forum : cliquez
ici - découvrez aussi le "Portail"
de cette nouvelle plate-forme Petite contrainte dont nous vous demandons de ne pas nous tenir rigueur,
liée à notre souhait de nettoyer un fichier de membres
alourdi par le temps :
la nécessité, si vous étiez déjà
enregistré(e) dans lancien forum, de vous ré-enregistrer
sur le nouveau , si possible en conservant le même identifiant
(pseudo). Ce
forum est désormais fermé, mais il restera consultable
sans limite de durée à lurl : http://www.universimmo.com/forum Les
adresses et les liens que vous avez pu créer vers ses sujets
restent bien entendu totalement opérationnels.
Par contre tous les nouveaux sujets doivent être
créés sur la nouvelle plate-forme. Pour
toutes remarques, questions ou suggestions concernant cette migration,
nous vous proposons un sujet dans la section « A
propos de ce forum »
Bon surf
! Léquipe Universimmo
Il est recommandé pour apprécier le site d'avoir une résolution d'écran de 1024x768 (pixels/inch) ou Plus..
Nous pensons que cette enquête s' arrête là où elle devrait commencer. Parmi mes amis, je compte beaucoup d' architectes, d' entrepreneurs et d'experts , donc des "gens du métier". Leur expérience est fort instructive , car la plupart se méfient des carcans de la copropriété .Les autres ont vendu parce qu'il furent piégés par des vices cachés ou l' Alzheimer des bâtiments. De ces discussions avec gens du métier, il ressort qu'il serait du plus grand intérêt de scinder votre analyse en "groupes" de consommateurs : - combien d' experts immobiliers ont acheté (pour occuper ou louer) pour revendre ensuite à perte - combien d' architectes ont cherché un logement dans une copropriété pour se rendre compte des déboires après coup. Ils auraient dû être informés. Ils l' étaient par les minutes des AG. - combien de personnes non "désargentées" (mais poussés par l'âge à vendre leur maison devenue trop spacieuse) ont pu constater les graves vices de fonctionnement des copropriétés , quand une majorité (désargentée ou avare ou inconsciente ) votait contre des travaux "urgents , mais non indispensbles". Ces personnes avaient souvent acheté des espaces assez importants , comme des penthouses , qui rappelaient leur maison en plus petit. Aucune n'a réalisé dans quelle galère elle s' embarquait : vivre sous un toit mal isolé (>> air conditionné pr temps chaud) ( chauffage fort onéreux par temps froid) ; un toit qui ne perce que chez eux , et dont les autres ne souffent pas; une terrasse impossible à entretenir par manque de pente à la construction ; un ascenseur en panne quand on a de vieux os ; un chauffage qui glougloutte et chauffe insuffisamment parce que les étages inférieurs ne purgent jamais ; corrosion maximale des tuyauteries en haut par présence maximale d'air dans un système de chauffage pas toujours étanche ; problèmes maximaux d'eau sanitaire en cas de coupures d'eau par manque de clapet anti-retour, etc...
Il nous semble que dans le bâtiment le principe de l' entretien "en bon père de famille" reste une vertu primordiale pour sauvegarder et valoriser le capital de TOUS, même si tous ni même la plupart ne s'en rendent compte.
Question : jusqu'où une majorité , soit désargentée, soit non concernée (autre étage) ,soit désintéressée et incapacitée par âge et/ou ignorance , peut-elle agir contre le bon entretien normal d'un bâtiment commun , mettant en danger les avoirs de ceux qui souhaitent garder ou valoriser leurs biens ? Les prétendues difficultés financières des uns ne peuvent entamer la saine gestion du patrimoine des autres. Si on ne peut se permettre un tel logement, peut-être faut-il déménager vers un moins cher ? On ne peut pas tout niveler par le bas , ni calculer selon le plus petit dénominateur , qui est celui de l' armée du salut.
Si les nouveaux bâtiments appellent rarement des travaux urgents , facilitant la vie des syndics, beaucoup d' anciens bâtiments sont des bombes à retardement pour beaucoup de syndics: les frais normaux augmentent avec l' âge comme en médecine, mais les frais initialement non prévus explosent suite à des phénomènes de maladies peu ou inconnues à la construction il y a 30-40 ans : maladie du béton , la corrosion des tuyaux de chaufage ( du galvanisé cintré au lieu de coudes avec les contraintes physiques corrolaires) , la corrosion des tuyaux sanitaires suite à des eaux mal adoucies , des fils électriques et parlophonies dont l' isolation s'effrite ). Nous constatons souvent que tous ces frais se téléscopent et que les réparations sont remises à demain ; demain , la vieille chaudière rend l' âme , de préférence en plein hiver. C'est la seule urgence où tous seront d' accord pour appeler le SAMU !
Ces tristes constats appelleront certainement des commentaires , mais l'utilité des commentaires est proporionelle à la technicité des intervenants, car le "sentiment" ne peut rien apporter. Malheureusement,le sentiment régit les AG.