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julien Courbet
Nouveau Membre
4 réponses |
Posté - 15 sept. 2008 : 17:55:12
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Bonjour, AU SECOUR!!!
J'essaie de créer mon agence de chasseur immobilier avec mon associé, Je dispose de l'aptitude professionnelle, mon associé non ( il a effectué une demande mais sa maitrise d'économie et de gestion "option santé" a été jugé non concordantes avec les prescriptions.
Je suis en CDI dans le Privé, j'avais l'intention de garder mon emploi le temps que la société décolle, mon associé doit être salarié de la structure et se charger de la prospection, de la visite des biens, des reportages photographique etc...
j'ai effectué ma pré demande à la préfecture qui viens de me répondre que je ne pouvais être gérant de la société et cumuler un emploi à plein temps... On me demande de nommer un directeur principal d'établissement, répondant aux exigences de l'aptitude pro,
Il m'est impossible de me séparer de mon associé, de plus je n'ai pas besoin d'avoir un directeur d'agence puisque nous n'aurons pas d'agence, nous aurons tout juste un bureau et encore, nous souhaitons privilégié au maximum les rendez vous au domicile des clients. Il n'y a pas de base juridique à ce refus( tout du moins, pas à ma connaissance)
Que faire?!!? existe il un moyen ou une décision de justice me permettant de mener mon projet à bien,
Merci par avance pour tout éléments de réponse !
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ali gator
Pilier de forums
9527 réponses |
Posté - 15 sept. 2008 : 18:32:17
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Citation : Initialement posté par julien Courbet
Vous tombez à point !!! Voilà plusieurs mois que je vous ai écrit pour participer à votre émission suite à un problème avec mon voisin Tristounet . Pas de réponse à ce jour . Dois je vous envoyer une lettre recommandée avec accusé de réception (LRAR) ???
Et temps qu'à faire j'expose mon problème : Mon voisin Tristounet a une vue oblique sur mon intimité . Mais vu son très fort strabisme je pense qu'il s'agit plutôt d'une vue droite . Quand pensez vous ???
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Les chiens vous regardent tous avec vénération. Les chats vous toisent tous avec dédain. Il n'y a que les cochons qui vous considèrent comme leurs égaux . (Winston Churchill)
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Edité par - ali gator le 15 sept. 2008 19:19:15 |
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robespierre
Contributeur senior
57 réponses |
Posté - 15 sept. 2008 : 22:05:12
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Mon cher Julien, J epense que vous pouvez remercier les autorités compétentes de freiner votre projet.. Monter une structure nouvelle dans la transaction,aujourd'hui,d'un pari insensé. Attendez 2 ou 3 ans avant de penser à gagner de l'argent dan sl'immobilier et restez ou vous êtes. |
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julien Courbet
Nouveau Membre
4 réponses |
Posté - 16 sept. 2008 : 10:19:47
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Bonjour,
Pour le problème de voisinage, je ne peux plus rien pour vous( j'ai changé de chaine et d'émission...) Pour être plus sérieux, ce projet est vital pour moi... De plus il ne s'agit pas d'une énième agence immobilière... Mais une agence de chasseur immobilier qui apporte une réelle valeur ajouté, fini les marchands du temple et les commissions encaissés sans avoir levé le petit doigt. Quand aux contexte actuel c'est justement le bon moment, il vaut mieux se lancer maintenant!!! Donc je renouvelle mon appel a l'aide!!! merci! |
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seborga1
Pilier de forums
1961 réponses |
Posté - 16 sept. 2008 : 21:22:15
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Votre post est-il un gag ? On dirait que non et pourtant tout y est pour croire au canular. Oui, quand vous aurez découvert ce que c'est que d'être un intermédiaire immobilier (agence traditionnelle qu'on dit souvent incapable et uniquement intéressée par les sous, ou chasseur qui se veut faire du vrai service et qui, pour moi aime encore plus les sous !)... donc, quand vous aurez découvert ce qu'est réellement ce métier, vous remercierez la préfecture de vous freiner pour les raisons suivantes : - vous n'aurez jamais le temps de faire réellement de la chasse si vous avez à côté un emploi à plein temps et si vous tentez de le faire vous serez très vite licencié car vous serez si crevé que vous ferez mal votre actuel boulot salarié, - vous allez vite découvrir que votre associé qui ne connait rien à ce métier sera un boulet et lui, il aura la force de vous sucer le sang jusqu'à la moelle car il semble qu'il n'a pas d'autre métier à côté, - vous comprendrez que même si vous n'ouvrez pas une officine qui s'appelle "agence" vous allez devenir "personne morale" puisque "société", avec un "associé" et ça, si vous aviez fait un minimum de droit ordinaire, vous sauriez que ça impose un "gérant". Seul bémol... moi aussi, comme vous, je croyais qu'on pouvait être "gérant" à mi temps et avoir une autre activité à côté... Bon, les plus férus que moi en droit nous diront de quoi il en retourne exactement, - pourquoi vous est-il impossible de vous séparer de votre associé et d'abord, ce n'est pas votre associé tant que vous n'avez pas créé la société... j'ai comme envie de penser que vous refuser d'abandonner votre "gigolo"... et pardon si je vous choque par cette pensée.
Citation : Il n'y a pas de base juridique à ce refus( tout du moins, pas à ma connaissance)
Mais vous semblez encore moins instruit en droit que moi qui pourtant n'y connais pas grand chose... Citation : Que faire?!!? existe il un moyen ou une décision de justice me permettant de mener mon projet à bien,
j'ignore complètement s'il existe une décision de justice vous permettant de mener votre projet à bien mais je sais que si vous avez envie de concrétiser un jour ce projet de façon utile, sans partir droit dans le décor et plein plein de soucis, vous avez intérêt à aller suivre un peut de cours de droit sur les sociétés et à rencontrer les conseillers de la chambre de commerce.
Et pour conclure, comme le souligne Robespierre, c'est franchement pas le moment d'ouvrir une officine immobilière, le marché est en train de ralentir, il est prévu à court terme la disparition des 30 % d'agences qui viennent de naître grâce à l'envolée... ou si le nombre d'agence reste constant, le nombre de personnel dans ces agences va chuter des 30 % qui sont en train de devenir inutiles. Si vous voulez vous lancer dans un projet de structure de transaction vous avez intérêt, maintenant, à chercher une idée franchement novatrice... le chasseur, c'est déjà "hase been". Et à être franchement virtuose en droit (toutes disciplines du droit confondues pas qu'en droit immobilier).
Au fait, même si ce forum est un échange à connotation "générosité", je crois que s'il y a actuellement de bons coups économiques à faire, personne ne vous les dévoilera. La clé du succès, dans les affaires, c'est quand même et ce sera toujours de mettre son idée en oeuvre sans la dévoiler afin d'être le seul sur le marché porteur qu'on vient de dénicher ou d'être le seul à avoir trouvé le montage juridique de fonctionnement qui permet de contourner les difficultés.
Le meilleur conseil qu'on puisse vous donner est de vous accrocher à votre actuel métier et de chercher à le faire progresser et faites tout pour bien vous border avant de chercher à devenir calife à la place du calife. Bon courage monsieur Julien Courbet ... Pourquoi avez-vous choisi ce pseudo... ? |
seborga1 |
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ghghgh
Pilier de forums
611 réponses |
Posté - 17 sept. 2008 : 00:41:51
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Le métier de "chasseur immobilier" n'est qu'un artifice commercial; J'exerce le métier d'agent immobilier traditionnel au sein d'un réseau de franchise depuis 1989, et je puis vous garantir que je pratique depuis près de 20 ans...la même profession que celle des "chasseurs immobiliers" !!! Au dela de la recherche quotidienne de biens à vendre, j'établis un véritable cahier des charges de chaque acheteur...et me met à la recherche du bien immobilier de ses rêves. Et...pour l'anecdote...je ne suis certainement pas le seul agent immobilier à pratiquer de la sorte. Si une carrière dans l'immobilier vous tente, faites le tour des réseaux de franchise en la matière, et vous aurez chez les plus sérieux, toutes les réponses à vos questions, et une aide efficace à la création de votre entreprise. |
Cordialement. Gilles
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Edité par - ghghgh le 17 sept. 2008 00:43:11 |
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julien Courbet
Nouveau Membre
4 réponses |
Posté - 17 sept. 2008 : 10:27:07
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He bien!, me voila habillé pour l'hiver!,
Pourquoi parlez vous de gigolo, ?!? Vous vous éloignez du sujet de ma question .De plus je sens dans le ton de votre réponse bcp d'animosité et d'aigreur, vous vous sentez mal dans votre peau, l'agressivité est votre seule réponse, signe de refoulement?!!
Je vais répondre à votre question puisque nous somme sur un forum à connotation "générosité",
Cumul d'une activité salariée et d'une activité non-salariée
Sur le plan juridique
Le cumul est possible dès l'instant où le salarié respecte son obligation de loyauté envers son employeur. Sa nouvelle activité ne doit donc pas être susceptible de concurrencer celle de son employeur. Si le contrat de travail du salarié comporte une clause d'exclusivité, celle-ci ne lui sera pas opposable pendant une durée d'un an (ou 2 dans certains cas).
Sur le plan fiscal
Les revenus afférents aux deux activités sont déclarés dans la catégorie qui leur est propre : traitements et salaires, BIC ou BNC selon la nature de l'activité. Avec, là encore, possibilité d'opter pour le régime de la micro-entreprise lorsque les revenus non-salariés n'excèdent pas une certaine limite.
Sur le plan social
En ce qui concerne la sécurité sociale et les allocations familiales
L'intéressé doit cotiser simultanément aux deux régimes, salarié et non-salarié.
Le droit aux prestations est ouvert dans le régime dont relève l'activité principale.
Cependant : - depuis le 1er janvier 1995, les pluriactifs exerçant à titre principal une activité non-salariée et à titre secondaire une activité salariée, peuvent percevoir les indemnités journalières de maladie-maternité servies par leur régime salarié. - cette règle ne s'applique pas non plus aux prestations d'invalidité. Une personne exerçant, à titre principal, une activité non salariée et simultanément une activité salariée peut solliciter l'attribution d'une pension d'invalidité au titre de ce dernier régime (arrêt de la cour de cassation du 19 octobre 2000).
A noter : les salariés qui créent ou reprennent une entreprise peuvent, sous certaines conditions, bénéficier d'une exonération de cotisations sociales dues au titre de leur activité indépendante. Elle a une durée d'un an et s'applique à condition de justifier : - d'au moins 910 heures d'activité salariée au cours des douze mois précédant la création ou la reprise de l'entreprise, - et d'au moins 455 heures d'activité salariée au cours des douze mois suivant la création ou la reprise de l'entreprise.
Sont considérées comme équivalentes à une période d'activité salariée (à raison de 6 heures par jour) : - les périodes d'arrêt maladie, maternité, ou pour adoption ou accident, - les périodes de chômage indemnisé, - les périodes de formation professionnelle rémunérée.
L'exonération s'applique aux cotisations d'assurance maladie-maternité, d'assurance veuvage, vieillesse, invalidité-décès et d'allocations familiales, dans la limite d'un plafond de revenu ou de rémunération fixé à 120 % du Smic. Ne sont pas concernés par cette mesure la CSG, la CRDS, les cotisations de retraite complémentaire obligatoire, les cotisations accidents du travail et maladies professionnelles, le Fnal et le versement de transport.
Le bénéfice de l'exonération doit être demandé par écrit à chaque organisme social dont relève le créateur ou le repreneur. Cette demande doit être adressée à l'issue des 90 premiers jours d'activité ou au plus tard à l'issue de la période d'exonération.
Détermination de l'activité principale
L'activité non-salariée est présumée être exercée à titre principal. Il en est autrement si l'intéressé a accompli au cours de l'année de référence au moins 1 200 heures de travail salarié lui ayant procuré un revenu au moins égal à celui de ses activités non salariées (article R 615-3 du code de la sécurité sociale).
Dans ce dernier cas (activité principale salariée), l'intéressé n'est pas soumis à la cotisation minimale forfaitaire normalement acquittée auprès du Régime social des indépendants (RSI). Il cotise sur la base de ses revenus non-salariés réels même s'ils sont inférieurs à 40 % du plafond de la sécurité sociale. Un salarié entreprenant une activité non-salariée sera donc dispensé de verser, la première année, la cotisation provisionnelle forfaitaire d'assurance maladie. Il ne versera sa cotisation que l'année suivante en fonction de ses revenus déclarés la première année. Cette règle s'applique également les années ultérieures.
Cette disposition ne concerne que l'assurance maladie. Il devra donc acquitter, dès la première année, la cotisation forfaitaire d'allocations familiales et de retraite.
En ce qui concerne la retraite : une double affiliation est obligatoire, mais, en contrepartie, le pluriactif cumulera les prestations acquises dans les deux régimes.
Lorsqu'un assuré relève ou a relevé successivement, alternativement ou simultanément du régime général de sécurité sociale, des régimes de salarié et d'exploitant agricole et des régimes d'assurance vieillesse des professions artisanales, industrielles et commerciales, il peut effectuer une demande unique de liquidation de ses droits à pension.
Pour cela, il adresse, au choix, sa demande à l'un des régimes précités dit "régime d'accueil", au moyen d'un imprimé unique. Le régime d'accueil est ensuite tenu de communiquer aux autres régimes les copies de l'imprimé unique, et le cas échéant, les pièces justificatives nécessaires (décret n° 97-1001 du 27 octobre 1997, Journal officiel du 1er novembre 1997 p.15 892).
Activité salariée et gérance non rémunérée de SARL
S'il s'agit d'un gérant minoritaire
Il n'aura aucune charge sociale à payer au titre de ses fonctions de gérant.
S'il s'agit d'un gérant majoritaire
Il devra s'affilier obligatoirement aux caisses sociales des travailleurs non-salariés. Les règles relatives aux cotisations sont les suivantes :
Maladie-maternité : affiliation auprès du Régime social des indépendants (maladie-maternité) - Pas de cotisation minimale à payer si son activité principale est son activité salariée. Il se fait immatriculer "pour ordre" et doit justifier qu'il est couvert au titre de son activité principale (bulletins de paye par exemple).
Allocations familiales : affiliation auprès du Régime social des indépendants ou de l'Urssaf pour les professionnels libéraux - Versement durant les deux premières années de cotisations minimales. Le dirigeant ne pourra justifier de l'absence de revenu qu'au bout de 2 ans, ce qui lui donnera droit au remboursement des cotisations versées (le seuil d'exonération de cotisations de l'Urssaf étant de 4 489 euros). Certaines caisses acceptent cependant de rembourser les cotisations au bout de la 1ère année sur justificatif (procès-verbal d'assemblée le nommant gérant "non rémunéré").
Retraite : affiliation auprès du Régime social des indépendants ou de la CNAVPL pour les professionnels libéraux : - S'il prouve qu'il n'est pas rémunéré, le gérant majoritaire ne payera qu'une cotisation minimale calculée sur la base de 200 heures de Smic pour la vieillesse de base et la retraite complémentaire et sur la base de 800 fois le Smic horaire pour l'invalidité-décès.
Si la société exerce une activité libérale, le gérant majoritaire est affilié au régime de retraite des professions libérales (Ex. : Cipav) qui ne prévoit pas de cotisations minimales. Il pourra, le cas échéant, demander à la caisse une réduction de cotisations.
Le régime social des indépendants (RSI) réunit désormais la Cancava, l'Organic et la Canam.
A noter : les salariés qui créent ou reprennent une entreprise peuvent, sous certaines conditions, bénéficier d'une exonération de cotisations sociales dues au titre de leur activité indépendante Elle a une durée d'un an et s'applique à condition de justifier : - d'au moins 910 heures d'activité salariée au cours des douze mois précédant la création ou la reprise de l'entreprise, - et d'au moins 455 heures d'activité salariée au cours des douze mois suivant la création ou la reprise de l'entreprise.
Sont considérées comme équivalentes à une période d'activité salariée (à raison de 6 heures par jour) : - les périodes d'arrêt maladie, maternité, ou pour adoption ou accident, - les périodes durant lesquelles le salarié, involontairement privé d'emploi, bénéficie d'un revenu de remplacement, - les périodes de formation professionnelle rémunérée.
L'exonération s'applique aux cotisations d'assurance maladie-maternité, d'assurance veuvage, vieillesse, invalidité-décès et d'allocations familiales, dans la limite d'un plafond de revenu ou de rémunération fixé à 120 % du Smic. Ne sont pas concernés par cette mesure la CSG, la CRDS, les cotisations de retraite complémentaire obligatoire, les cotisations accidents du travail et maladies professionnelles, le Fnal et le versement de transport.
Le bénéfice de l'exonération doit être demandé par écrit à chaque organisme social dont relève le créateur ou le repreneur. Cette demande doit être adressée à l'issue des 90 premiers jours d'activité ou au plus tard à l'issue de la période d'exonération.
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lnsacorh
Pilier de forums
4541 réponses |
Posté - 18 sept. 2008 : 22:31:20
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Vous avez fait un copié-collé ou bien tapé tout ça. Car sinon on le pose entre " ".
pour quelqu'un qui vient demandé conseil on se demande vraiment si c'est un canular, cher Julien Courbet |
----------------- Je pourrais aussi dire que cliquer sur le pseudo d'un membre et parcourir ses textes sont d'une grande utilité, car les dialogues étaient bien enrichissants. Ayez le courage de remonter les pages qui pour certains en ont plus de 501 PAGES composées de 24 SUJETS chacune en moyenne. IL Y A DE LA BONNE LECTURE A PRENDRE. FASTIDIEUX MAIS TRES INSTRUCTIF.
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quelboulot
Modérateur
6445 réponses |
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julien Courbet
Nouveau Membre
4 réponses |
Posté - 19 sept. 2008 : 10:56:34
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Oui je suis venu demander un conseil et j'ai eu droit à ça!! J'ai plutôt l'impression que c'est moi la victime du canular! Mais merci quand même pour votre aide à tous.... Je crois que le sujet est clos.
Citation : Initialement posté par seborga1
Votre post est-il un gag ? On dirait que non et pourtant tout y est pour croire au canular. Oui, quand vous aurez découvert ce que c'est que d'être un intermédiaire immobilier (agence traditionnelle qu'on dit souvent incapable et uniquement intéressée par les sous, ou chasseur qui se veut faire du vrai service et qui, pour moi aime encore plus les sous !)... donc, quand vous aurez découvert ce qu'est réellement ce métier, vous remercierez la préfecture de vous freiner pour les raisons suivantes : - vous n'aurez jamais le temps de faire réellement de la chasse si vous avez à côté un emploi à plein temps et si vous tentez de le faire vous serez très vite licencié car vous serez si crevé que vous ferez mal votre actuel boulot salarié, - vous allez vite découvrir que votre associé qui ne connait rien à ce métier sera un boulet et lui, il aura la force de vous sucer le sang jusqu'à la moelle car il semble qu'il n'a pas d'autre métier à côté, - vous comprendrez que même si vous n'ouvrez pas une officine qui s'appelle "agence" vous allez devenir "personne morale" puisque "société", avec un "associé" et ça, si vous aviez fait un minimum de droit ordinaire, vous sauriez que ça impose un "gérant". Seul bémol... moi aussi, comme vous, je croyais qu'on pouvait être "gérant" à mi temps et avoir une autre activité à côté... Bon, les plus férus que moi en droit nous diront de quoi il en retourne exactement, - pourquoi vous est-il impossible de vous séparer de votre associé et d'abord, ce n'est pas votre associé tant que vous n'avez pas créé la société... j'ai comme envie de penser que vous refuser d'abandonner votre "gigolo"... et pardon si je vous choque par cette pensée.
Citation : Il n'y a pas de base juridique à ce refus( tout du moins, pas à ma connaissance)
Mais vous semblez encore moins instruit en droit que moi qui pourtant n'y connais pas grand chose... Citation : Que faire?!!? existe il un moyen ou une décision de justice me permettant de mener mon projet à bien,
j'ignore complètement s'il existe une décision de justice vous permettant de mener votre projet à bien mais je sais que si vous avez envie de concrétiser un jour ce projet de façon utile, sans partir droit dans le décor et plein plein de soucis, vous avez intérêt à aller suivre un peut de cours de droit sur les sociétés et à rencontrer les conseillers de la chambre de commerce.
Et pour conclure, comme le souligne Robespierre, c'est franchement pas le moment d'ouvrir une officine immobilière, le marché est en train de ralentir, il est prévu à court terme la disparition des 30 % d'agences qui viennent de naître grâce à l'envolée... ou si le nombre d'agence reste constant, le nombre de personnel dans ces agences va chuter des 30 % qui sont en train de devenir inutiles. Si vous voulez vous lancer dans un projet de structure de transaction vous avez intérêt, maintenant, à chercher une idée franchement novatrice... le chasseur, c'est déjà "hase been". Et à être franchement virtuose en droit (toutes disciplines du droit confondues pas qu'en droit immobilier).
Au fait, même si ce forum est un échange à connotation "générosité", je crois que s'il y a actuellement de bons coups économiques à faire, personne ne vous les dévoilera. La clé du succès, dans les affaires, c'est quand même et ce sera toujours de mettre son idée en oeuvre sans la dévoiler afin d'être le seul sur le marché porteur qu'on vient de dénicher ou d'être le seul à avoir trouvé le montage juridique de fonctionnement qui permet de contourner les difficultés.
Le meilleur conseil qu'on puisse vous donner est de vous accrocher à votre actuel métier et de chercher à le faire progresser et faites tout pour bien vous border avant de chercher à devenir calife à la place du calife. Bon courage monsieur Julien Courbet ... Pourquoi avez-vous choisi ce pseudo... ?
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domsez
Contributeur senior
74 réponses |
Posté - 20 sept. 2008 : 18:37:20
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Bonjour, Etant chasseur immobilier depuis 3 ans, je me permets quelques remarques issues de mon expérience personnelle. Il me semble matériellement (et non légalement) difficile de cumuler activité salariée et travail de chasseur immobilier car : - ce travail demande beaucoup de disponibilité pour les visites, pour rencontrer les clients, ... Nos secteurs de recherches sont beaucoup + étendus que ceux des agents immobiliers classiques, ce qui implique un temps considérable passé en déplacement. - travailler avec un associé, pourquoi pas, mais en ayant chacun ses clients. En effet, c'est un travail de contact, de relation. En nous expliquant ce qu'ils cherchent, ils nous parlent ausi de leur projet de vie, de leurs histoires familiales, ... Un climat de confiance s'instaure. Comme dans tous les métiers de service qui touchent à quelque chose d'important : santé, cadre de vie, travail, ... Le professionnel est consulté en tant que professionnel et choisi en tant que personne.
A ce jour la loi assimile les chasseurs immobiliers aux agents immobiliers. Cela pourrait changer (voir dans la dernière newsletter d'universimmo la réponse du gouvernenment à un député, selon laquelle s'il n'y a pas de négociation, donc de participation effective à la transaction, le chasseur immobilier rend un service, donc la loi Hoguet ne s'applique pas). Mais la législation ne changera pas d'ici demain.
Pour que cela fonctionne financièrement, il faut de la trésorerie pour tenir le temps de la recherche + 3 mois et il y a des recherches qui n'aboutissent pas, ... donc il convient de limiter au maximum les dépenses non productives, comme un local, il est tout à fait possible de travailler de chez soi avec un ordianteur, un téléphone. D'ailleurs, sur Paris, il y a de plus en plus d'agents immobiliers qui n'ont pas d'agence.
D'accord avec les intervenants précédents pour dire que la période est défavorable, le nombre des transactions immobilières baisse et je ne crois pas que cela changera à court terme. Il y a beaucoup d'agents immobiliers et de chasseurs immobiliers à la peine.
DErnier conseil : formez-vous ! Pour la plupart des gens, les métiers de l'immobilier c'est (faire) visiter des appartements, saluer la concierge, serrer la main de Mme Machin, ... et donc qu'il est facile de gagner beaucoup d'argent sans trop de peine. Mais c'est en réalité très "technique" : droit, construction, urbanisme, ... amplifié par le fait que l'on ne parle pas en €, mais en dizaine de milliers d'€. Ce monde est très éloigné de celui du salariat. En tant que salarié, vous pouvez bénéficier d'un congé sabbatique. Vous pouvez aussi travailler pour une agence, pour voir si ce métier vous convient. ghghgh Il en est des agents immobiliers comme des chasseurs immobiliers comme de toutes les professions. Il y a des gens compétents sérieux, ... et d(autres qui le sont moins. Pas de généralisation.
Je ne doute pas que vous essayier de chercher le bien qui corresponde à une demande qui vous a été faite et lorsque j'ai des demandes sur un quartier très limité : entre 3 stations de metro, je renvoie les prospect sur les agents immobiliers du secteur, car je ne peux pas apporter de réelle plus value. En revanche, vous ne pouvez pas répondre à des demandes + larges comme "à 1/2 heure" de metro ou RER de la station Etoile et 10' d'un cours privé, ..."
Cordialement |
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