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Titre : "La bulle immobilière espagnole éclate" Date : 5/4/2007 Source : Trends.be
Citation :
Si l'immobilier américain s'est enrhumé, le résidentiel espagnol a la grippe. N'achetez pas aujourd'hui : ce sera moins cher demain !
Voici tout juste un an, le quotidien espagnol El País tirait la sonnette d'alarme : après une petite décennie de sérieuse flambée des prix, le marché résidentiel semblait promis à une correction. Les promoteurs eux-mêmes s'attendaient à une baisse de 5 à 10 % des mises en chantier en 2006. Professeur à l'Université de Barcelone, Gonzalo Bernardos corrigeait : ce n'est pas pour 2006, mais pour 2007. Bien vu : les mises en chantier ont encore progressé de 18 % l'an dernier, tandis que les prix grimpaient de 9 %. Le ver était pourtant dans le fruit : les ouvertures de crédit hypothécaire ont baissé de 10 % en 2006, ce qui ne pouvait qu'induire un ralentissement de l'activité et un reflux des prix.
Citation :S'agit-il d'un mouvement d'humeur sans grande signification ou bien l'initiative de Re/Max préfigure-t-elle une période de soldes généralisés ? Premier élément de réponse, d'ordre général : on a tendance à oublier que l'immobilier peut baisser, et dans de larges proportions, surtout après une flambée (trop) spectaculaire. Ainsi à Londres, les prix ont-ils chuté de 45 % durant la crise de 1988-1995. Sans aller jusque-là, ils ont quand même reflué de 20 % en Espagne entre 1991 et 1997, en termes réels s'entend. Après une envolée de 180 % en 10 ans, nul ne songe à nier que le résidentiel espagnol est bel et bien victime d'une «bulle» spéculative. Laquelle est prédisposée à éclater.
Citation : Un tiers de moins ?
Le reflux semble donc acquis. Mais de combien ? L'OCDE a donné le ton en janvier dernier, en avertissant que les prix espagnols étaient surfaits de 30 %. Quant au clairvoyant Gonzalo Bernardos, il prévoyait in tempore non suspecto 5 % de baisse en 2007, 6 % en 2008 et 7 % en 2009. Peu importe finalement qu'on attende 30 % ou seulement 17 % de repli. Une chose est sûre : le mouvement est lancé. Une autre chose est probable : le reflux devrait être plus accentué pour les secondes résidences. Conclusion : pour les amateurs de la Costa del Sol, il est urgent d'attendre !