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Actuellement en formation sur le métier de Négociateur Immobilier, je réalise un mémoire de recherche. Le sujet que j'ai choisi vous plaira sûrement beaucoup d'aprés tout ce que j'ai déjà pu lire sur le forum mais j'ai néanmoins besoin de votre aide pour compléter mes recherches, obtenir vos avis et ordonner et organiser les différents points dans mon travail!
"Peut-on encore se passer de l'agent immobilier pour la transaction de biens anciens?" à l'heure où le particulier à particulier représente encore la majorité du marché des transactions.
Je compte aborder le sujet suivant différents points: - constat réel de la situation avec chiffres et études: part de marché des AI, pourcentage des rétractations antre agents et partiuliers ... - comparaison avec la situation dans d'autres pays de la Communauté Européenne mais aussi avec la situation de monopole aux Etats-Unis et au Canada - les pourquoi d'une si mauvaise réputation: opacité du marché et difficile fixation des prix de vente, mandats simples contre mandats exclusifs, commissions pratiquées, manque de professionnalisme et de formation des intermédiaires, garantie des vices cachés et désillusion devant l'état effectif du bien, devoir de conseil ... - quelles solutions envisageables pour inverser ce constat et redorer l'image des AI en général tant du point de vue des réglementations, pratiques, formations, ... - et de ce fait se poser la question sur l'avenir et le devenir des agents immobiliers en France: modification de la profession, apparition de nouvelles professions comme coaching à la vente pour les particuliers, courtier immobilier, mandataire pour les acheteurs, e-commerce de l'immobilier ...
Bref tout un programme et un sujet finalement trés vaste mais sur lequel il n'existe presque pas de documentations, d'études ... sans parties pris pour appuyer et renforcer mon mémoire.
C'est pourquoi je fais appel à chacun de vous pour m'apporter votre aide, vos documents, vos conseils éclairés, vos témoignages objectifs ...
Non je ne souhaite pas que vous planchiez sur mon sujet qui est déjà trés avancé mais plutôt que vous interveniez de façon à vérifier que je n'ai pas oublié ou négligé certains axes de réflexion, voilà tout!
Sinon une part de mon diplôme, ouaiiiiiis je veux bien mais çà ne doit pas avoir trés bon goût!
Attention avec les statistiques. D'après l'Insee, 77 % des propriétaires vendeurs confient leur bien à une agence. Après, les agences dans l'ensemble ne s'en occupent pas ou peu, puisqu'elles ont 1,5 chances sur 10 de vendre en cas de mandat simple. Quant au mandat exclusif : http://www.universimmo.com/forum/topic.asp?TOPIC_ID=21239
La problématique, réduite à une question, n'est pas vraiment exposée dans votre message mais la dynamique qui la sous-tend apparaît bien dans le dernier alinea (nouveaux champs d'exercice de la profession et nouvelles professions).
En ce sens, je réagirais en cherchant dans les évolutions sociales et commerciales mais aussi dans les réponses juridiques ou législatives (évolutions et réponses étant forcément liées) les différents éléments qui impactent le marché. L'agent immobilier est alors perçu comme résultante de ces évolutions.
Par ailleurs, les évolutions conjoncturelles en font un acteur du marché et non simplement une résultante. Il suffit de voir comment ont été exploitées les évolutions de taux et la croissance de la demande en logement... et de voir également comment des groupes se sont développés en faisant le choix d'un accroissement de leur productivité (Century 21).
Voilà quelques éléments. Je ne sais pas si cela peut vous aider... Bon courage, Galérien.
En effet vous avez bien raison de signaler que les chiffres dits officiels sur ce sujet sont à prendre avec des pincettes parce qu'ils auraient tendance si on ne les décortiqués pas un peu à nous faire croire que tout va bien dans la profession et que la part de marché des agents immobiliers est importante!
Je dispose des chiffres qui semblent dire la même chose que les vôtres mais les bien sont issus de la TNS Sofres! Je n'ai pas connaissance des vôtres! Pouvez-vous svp m'indiquer où je peux aller me procurer ceux dont vous faites état?
Un grand merci d'avance NAROU
Citation :Initialement entré par jcm
Attention avec les statistiques. D'après l'Insee, 77 % des propriétaires vendeurs confient leur bien à une agence. Après, les agences dans l'ensemble ne s'en occupent pas ou peu, puisqu'elles ont 1,5 chances sur 10 de vendre en cas de mandat simple. Quant au mandat exclusif : http://www.universimmo.com/forum/topic.asp?TOPIC_ID=21239
Merci beaucoup GALERIEN pour votre participation et vos conseils!
Par contre je ne comprends pas trés bien ce que vous voulez dire par "résultante"? L'agent immobilier est une résultante et pas un acteur?
Dans tous les cas, votre analyse de mon sujet et de ma problèmatique rejoint tout à fait la direction que j'ai pris pour développer mon sujet trés vaste il est vrai!
Merci d'avance pour votre complément d'information NAROU
Citation :Initialement entré par galérien
Bonjour, Sujet vaste, en effet.
La problématique, réduite à une question, n'est pas vraiment exposée dans votre message mais la dynamique qui la sous-tend apparaît bien dans le dernier alinea (nouveaux champs d'exercice de la profession et nouvelles professions).
En ce sens, je réagirais en cherchant dans les évolutions sociales et commerciales mais aussi dans les réponses juridiques ou législatives (évolutions et réponses étant forcément liées) les différents éléments qui impactent le marché. L'agent immobilier est alors perçu comme résultante de ces évolutions.
Par ailleurs, les évolutions conjoncturelles en font un acteur du marché et non simplement une résultante. Il suffit de voir comment ont été exploitées les évolutions de taux et la croissance de la demande en logement... et de voir également comment des groupes se sont développés en faisant le choix d'un accroissement de leur productivité (Century 21).
Voilà quelques éléments. Je ne sais pas si cela peut vous aider... Bon courage, Galérien.
suite... Par résultante, je voulais dire que l'activité (dans l'immobilier comme ailleurs) résulte pour une part d'éléments purement conjoncturels liés à une macro-économie (évolution des taux, arbitrage des investisseurs entre bourse et immobilier, etc.). Ceux qui subissent créent des agences dans les bonnes périodes et les ferment dans les mauvaises. D'autres qui subissent également cette conjoncture (qui la maîtrise ? même si des Ben Bernanke ou Trichet tentent par le contrôle des taux la maîtrise de l'inflation, par exemple) adaptent leurs produits et font évoluer leurs métiers voire en créent de nouveaux... d'où le terme d'acteur même si la notion à quelque chose d'illusoire. En somme, deux axes de réflexion... A+